La junte birmane bloque les humanitaires occidentaux dans Rangoun
LE MONDE | 17.05.08 | 14h06 • Mis à jour le 17.05.08 | 21h58
Deux semaines après le passage du typhon Nargis, en Birmanie, les nuits de Rangoun sont encore presque toujours noires, faute d'électricité. Les jours, eux, sont gris, sombres, embués par les pluies de mousson torrentielles qui s'abattent tous les après-midi. Des journées qui paraissent définitivement longues, trop longues, à tous les humanitaires expatriés "coincés" dans l'ancienne capitale depuis que la junte militaire, une semaine après la catastrophe, a interdit à tous les Occidentaux de sortir de la ville pour rejoindre les zones les plus sinistrées.
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Deux semaines après le passage du typhon Nargis, en Birmanie, les nuits de Rangoun sont encore presque toujours noires, faute d'électricité. Les jours, eux, sont gris, sombres, embués par les pluies de mousson torrentielles qui s'abattent tous les après-midi. Des journées qui paraissent définitivement longues, trop longues, à tous les humanitaires expatriés "coincés" dans l'ancienne capitale depuis que la junte militaire, une semaine après la catastrophe, a interdit à tous les Occidentaux de sortir de la ville pour rejoindre les zones les plus sinistrées.
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