El Mirador, mère des cités mayas
LE MONDE | 13.02.09 | 15h57 • Mis à jour le 13.02.09 | 15h57
Vue d'hélicoptère, la forêt du Peten est un morne moutonnement jusqu'à la frontière mexicaine.
Difficile d'imaginer tout ce qui grouille, siffle, pépie, trottine et se balance sous les arbres : toucans, cerfs, tapirs, singes-araignées ou singes hurleurs à la puissante voix de fauve, tatous, serpents, porcs-épics.
Et le sillage de crainte que creuse dans cette mer de verdure la course du jaguar, celui que les anciens Mayas appelaient Balam : le "maître du temps, seigneur de la nuit, souverain de l'inframonde".
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Vue d'hélicoptère, la forêt du Peten est un morne moutonnement jusqu'à la frontière mexicaine.
Difficile d'imaginer tout ce qui grouille, siffle, pépie, trottine et se balance sous les arbres : toucans, cerfs, tapirs, singes-araignées ou singes hurleurs à la puissante voix de fauve, tatous, serpents, porcs-épics.
Et le sillage de crainte que creuse dans cette mer de verdure la course du jaguar, celui que les anciens Mayas appelaient Balam : le "maître du temps, seigneur de la nuit, souverain de l'inframonde".
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