Sarkozy, un faux partisan d'une Turquie hors d'Europe ?
La question de l'entrée de la Turquie au sein de l'Union Européenne cristallise les querelles à l'intérieur des trois grands partis, l'UMP, le PS et le Modem. Décryptage des positions parfois moins claires qu'on serait tenter de le croire, ou le faire croire...
La question de l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne pourrait passer, aux yeux de l’observateur inattentif, pour un serpent de mer, un thème régulièrement convoqué par la classe politique française, à des fins purement électoralistes.
On a ainsi reproché aux tenants du Non lors du référendum sur la constitution européenne en 2005 d’utiliser cette question (certes étrangère au Traité constitutionnel, mais tout de même révélatrice de la folie du projet européen, secoué par des élargissements successifs, désordonnés et incontrôlés, qui mettent à mal la cohésion au sein du continent, et à ce titre en lien avec les enjeux discutés lors de la campagne).
On pourrait aujourd’hui reprocher à plus juste titre à Nicolas Sarkozy et à ses porte-flingues de l’UMP de jouer le même scénario et de convoquer un argument en vue du scrutin européen dans une perspective purement utilitariste, sans lien avec les enjeux réels de l’élection, et notamment le projet que porteront les députés français à Strasbourg et Bruxelles.
On a ainsi reproché aux tenants du Non lors du référendum sur la constitution européenne en 2005 d’utiliser cette question (certes étrangère au Traité constitutionnel, mais tout de même révélatrice de la folie du projet européen, secoué par des élargissements successifs, désordonnés et incontrôlés, qui mettent à mal la cohésion au sein du continent, et à ce titre en lien avec les enjeux discutés lors de la campagne).
On pourrait aujourd’hui reprocher à plus juste titre à Nicolas Sarkozy et à ses porte-flingues de l’UMP de jouer le même scénario et de convoquer un argument en vue du scrutin européen dans une perspective purement utilitariste, sans lien avec les enjeux réels de l’élection, et notamment le projet que porteront les députés français à Strasbourg et Bruxelles.
La question de l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne pourrait passer, aux yeux de l’observateur inattentif, pour un serpent de mer, un thème régulièrement convoqué par la classe politique française, à des fins purement électoralistes.
On a ainsi reproché aux tenants du Non lors du référendum sur la constitution européenne en 2005 d’utiliser cette question (certes étrangère au Traité constitutionnel, mais tout de même révélatrice de la folie du projet européen, secoué par des élargissements successifs, désordonnés et incontrôlés, qui mettent à mal la cohésion au sein du continent, et à ce titre en lien avec les enjeux discutés lors de la campagne).
On pourrait aujourd’hui reprocher à plus juste titre à Nicolas Sarkozy et à ses porte-flingues de l’UMP de jouer le même scénario et de convoquer un argument en vue du scrutin européen dans une perspective purement utilitariste, sans lien avec les enjeux réels de l’élection, et notamment le projet que porteront les députés français à Strasbourg et Bruxelles.