Les ambiguïtés de la réunion du Congrès de Versailles, par Françoise Fressoz
LE MONDE | 22.06.09 | 13h18 • Mis à jour le 22.06.09 | 13h18
Il est des symboles dans la vie politique qui valent tous les discours. Nicolas Sarkozy à Versailles s'exprimant, lundi 22 juin, devant les deux assemblées réunies en congrès. Voilà qui marquera l'histoire. Non que ce soit un sacre, quoiqu'en disent les rebelles trop enclins à dénoncer une "mascarade de démocratie". Mais c'est à coup sûr un signal : deux ans après le début de son mandat, le président de la République se sent suffisamment affermi pour faire vivre la révision constitutionnelle qu'il n'avait réussi à faire adopter, il y a un an, qu'à deux voix près.
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Il est des symboles dans la vie politique qui valent tous les discours. Nicolas Sarkozy à Versailles s'exprimant, lundi 22 juin, devant les deux assemblées réunies en congrès. Voilà qui marquera l'histoire. Non que ce soit un sacre, quoiqu'en disent les rebelles trop enclins à dénoncer une "mascarade de démocratie". Mais c'est à coup sûr un signal : deux ans après le début de son mandat, le président de la République se sent suffisamment affermi pour faire vivre la révision constitutionnelle qu'il n'avait réussi à faire adopter, il y a un an, qu'à deux voix près.
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