Les collectivités locales rechignent à financer les grands projets
LE MONDE | 30.06.09 | 14h54 • Mis à jour le 30.06.09 | 14h54
Nicolas Sarkozy, annonçant le 5 décembre 2008 son plan de relance, s'enthousiasmait : "Entre 2010 et 2014, c'est quatre lignes de chemin de fer à grande vitesse qui seront construites en parallèle." Six mois plus tard, le plan de financement de la plupart des grands projets mis en oeuvre par l'Etat n'est toujours pas bouclé, en dépit du recours aux opérateurs privés. Les dizaines de collectivités locales mises à contribution dans ces tours de table se montrent parfois très réticentes à mettre au pot. Les élus locaux ont appris à être méfiants vis-à-vis des engagements financiers de l'Etat, et n'hésitent plus à marchander leur participation, d'autant que la perspective de la disparition de la taxe professionnelle, leur principale ressource, les inquiète.
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Nicolas Sarkozy, annonçant le 5 décembre 2008 son plan de relance, s'enthousiasmait : "Entre 2010 et 2014, c'est quatre lignes de chemin de fer à grande vitesse qui seront construites en parallèle." Six mois plus tard, le plan de financement de la plupart des grands projets mis en oeuvre par l'Etat n'est toujours pas bouclé, en dépit du recours aux opérateurs privés. Les dizaines de collectivités locales mises à contribution dans ces tours de table se montrent parfois très réticentes à mettre au pot. Les élus locaux ont appris à être méfiants vis-à-vis des engagements financiers de l'Etat, et n'hésitent plus à marchander leur participation, d'autant que la perspective de la disparition de la taxe professionnelle, leur principale ressource, les inquiète.
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