Guadeloupe : le syndicaliste n'a pas été tué par une balle perdue
LEMONDE.FR avec AFP | 18.02.09 | 10h38 • Mis à jour le 18.02.09 | 17h16
Le délégué syndical tué par balle dans la nuit de mardi à mercredi 18 février en Guadeloupe n'a pas été atteint par une balle perdue, a affirmé le procureur de Pointe-à-Pitre, Jean-Michel Prêtre. Selon lui, il n'y avait "pas de forces de police positionnées à proximité" au moment des tirs.
La victime, Jacques Bino, revenait d'un piquet de grève au palais de la Mutualité, où siège le "collectif contre l'exploitation" LKP. Accompagné d'un autre passager, il avait choisi, pour éviter les barricades qui parsèment les routes autour de Pointe-à-Pitre, "de passer par des chemins de traverse", a rapporté le procureur. Selon le témoignage à l'AFP d'une jeune fille dont la fenêtre de l'appartement donne sur le lieu de l'incident, "la voiture du syndicaliste a été arrêtée à un barrage et a fait demi-tour".
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Le délégué syndical tué par balle dans la nuit de mardi à mercredi 18 février en Guadeloupe n'a pas été atteint par une balle perdue, a affirmé le procureur de Pointe-à-Pitre, Jean-Michel Prêtre. Selon lui, il n'y avait "pas de forces de police positionnées à proximité" au moment des tirs.
La victime, Jacques Bino, revenait d'un piquet de grève au palais de la Mutualité, où siège le "collectif contre l'exploitation" LKP. Accompagné d'un autre passager, il avait choisi, pour éviter les barricades qui parsèment les routes autour de Pointe-à-Pitre, "de passer par des chemins de traverse", a rapporté le procureur. Selon le témoignage à l'AFP d'une jeune fille dont la fenêtre de l'appartement donne sur le lieu de l'incident, "la voiture du syndicaliste a été arrêtée à un barrage et a fait demi-tour".
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